Darkthrone - A Blaze In The Northern Sky
Chronique par La Bête du Blizzard - Publiée le 24/10/2006
Note : 4.5/6
Tracklist :
1. Kathaarian Life Code
2. In the Shadow of the Horns
3. Paragon Belial
4. Where Cold Winds Blow
5. A Blaze in the Northern Sky
6. The Pagan Winter
1. Kathaarian Life Code
2. In the Shadow of the Horns
3. Paragon Belial
4. Where Cold Winds Blow
5. A Blaze in the Northern Sky
6. The Pagan Winter
Avertissement :
Vous lisez une chronique archive (susceptible d’être réécrite). Jacques Chirac était certainement encore président et nous des jouvenceaux avec autant de poils aux couilles que dans les oreilles. Nous vous demandons une certaine indulgence si vous trouvez cette rédaction abracadabrantesque.
Vous lisez une chronique archive (susceptible d’être réécrite). Jacques Chirac était certainement encore président et nous des jouvenceaux avec autant de poils aux couilles que dans les oreilles. Nous vous demandons une certaine indulgence si vous trouvez cette rédaction abracadabrantesque.
Considéré comme tout premier album de « true » black metal de l?histoire, ce deuxième opus de Darkthrone a considérablement marqué les esprits de l?époque ; à un point où le black metal n?était qu?une version accélérée de thrash / death metal vitaminé, « A Blaze In The Northern Sky » marque un tournant dans l?histoire de ce style aussi bien dans l?aspect purement technique que dans l?imagerie.
La musique est à l?image de la pochette, c?est-à-dire noire, extrêmement noire. Riffs crus et malsains, voix vicieuse et maléfique, saturations extrêmes et ambiances morbides et malsaines à souhait, voilà ce à quoi vous avez à faire en quelques mots, lorsque vous mettez cette galette de Darkthrone dans votre lecteur.
Débutant sur une intro malsaine devenue référence, le premier titre débute en brutalité et ne laisse aucunement de chances à l?auditeur de souffler. Riffs compacts et brutaux, blast permanents et furieux jusqu?au moment où seule une guitare décharnée vient enterrer l?auditeur. Car s?il y a bien une différence entre Mayhem et Darkthrone, c?est cette aptitude à laisser planer un voile de dépression pure sur ses enregistrements comme sur le titre éponyme de l?album. Riffs plus froids, rythmes plus lents et ambiances bien plus caverneuses et malsaines, nous avons là le lancement que sera le black metal tel que nous le connaissons aujourd?hui.
Bien évidemment, tout n?est pas parfait, surtout pour un style étant encore à ses balbutiements à l?époque ; compositions encore un peu brouillonnes, mais il y a déjà là cette façon si unique de jouer avec ses tripes?
Un objet culte, certes mais aussi bien excellent !
La musique est à l?image de la pochette, c?est-à-dire noire, extrêmement noire. Riffs crus et malsains, voix vicieuse et maléfique, saturations extrêmes et ambiances morbides et malsaines à souhait, voilà ce à quoi vous avez à faire en quelques mots, lorsque vous mettez cette galette de Darkthrone dans votre lecteur.
Débutant sur une intro malsaine devenue référence, le premier titre débute en brutalité et ne laisse aucunement de chances à l?auditeur de souffler. Riffs compacts et brutaux, blast permanents et furieux jusqu?au moment où seule une guitare décharnée vient enterrer l?auditeur. Car s?il y a bien une différence entre Mayhem et Darkthrone, c?est cette aptitude à laisser planer un voile de dépression pure sur ses enregistrements comme sur le titre éponyme de l?album. Riffs plus froids, rythmes plus lents et ambiances bien plus caverneuses et malsaines, nous avons là le lancement que sera le black metal tel que nous le connaissons aujourd?hui.
Bien évidemment, tout n?est pas parfait, surtout pour un style étant encore à ses balbutiements à l?époque ; compositions encore un peu brouillonnes, mais il y a déjà là cette façon si unique de jouer avec ses tripes?
Un objet culte, certes mais aussi bien excellent !