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Legion Of Doom - For Those of the Blood
Chronique par La Bête du Blizzard - Publiée le 23/10/2006
Legion Of Doom - For Those of the Blood
Note : 6/6
Genre : Black Metal
Année : 1997
Label : ISO666 Releases
Pays : Grèce
Durée : 30:30
Tracklist :
1. Narjniians Eternal Winter
2. Sunrise of the Golden Dawn
3. For Those of the Blood
4. Ερινύες... δαίμονες φτερωτοί
5. Messenger...
6. Κύρες
7. Το μυστικό του κοχυλιού
Avertissement :
Vous lisez une chronique archive (susceptible d’être réécrite). Jacques Chirac était certainement encore président et nous des jouvenceaux avec autant de poils aux couilles que dans les oreilles. Nous vous demandons une certaine indulgence si vous trouvez cette rédaction abracadabrantesque.

Cette chronique a été rédigée dans une démarche critique et en aucun cas pour promouvoir les idéologies ou opinions politiques éventuellement portées par les artistes.

Legion Of Doom revient deux ans plus tard. « For Those of the Blood » comme son prédécesseur un album de black metal au son cru mais mélodique, tout en gardant ce côté haineux, mais tout aussi épique. Tout comme « Kingdom of Endless Darkness », ce second opus a l'inconvénient de durer que trente petites minutes.

L'album débute sur le meilleur titre que j'ai écouté de Legion Of Doom : « Narjniian's Eternal Winter » un titre rapide, mélodique (parfois épique) avec son synthétiseur rappelant un orgue. Il est parfait, aux rythmes ternaires, entretenant l'attention de l'auditeur tout au long de l'écoute. Et cela est le cas durant tout l'album avec chaque piste renfermant son grain de génie. Un album presque transcendant. Le côté quelque peu atmosphérique est renforcé, surtout avec l'apport d'une meilleure utilisation du synthétiseur mais surtout grâce à des pistes d'exception comme « Sunrise of the Golden Dawn » qui peut être assimilé à du Dark Ambient. Mais aussi le titre éponyme « For Those of the Blood » avec son rythme vraiment entraînant et son côté qui ressort plus épique.

Côté production, rien ne change hormis une batterie quelque peu plus audible.

En réalité, tout a été dit dans la chronique du premier opus « Kingdom of Endless Darkness », cet album étant une version améliorée, ayant tout de même un côté plus mélodique et résolument plus épique.

Excellentissime.