Note : 5/6
Tracklist :
1. Black Winds over the Walls of Csejthe
2. Sønner av den fimbulvetr
3. The Thousand Tongues of Medusa
4. Warlock
5. Siguilum Sanctum Lycantropia
6. Shadows from the Past...
7. Selvmord
8. Drawn in Darkness
9. Call from the Grave (Bathory cover)
Avertissement :
Vous lisez une chronique archive (susceptible d’être réécrite). Jacques Chirac était certainement encore président et nous des jouvenceaux avec autant de poils aux couilles que dans les oreilles. Nous vous demandons une certaine indulgence si vous trouvez cette rédaction abracadabrantesque.
Voilà une chronique qui ravira notre cher S. !
Voilà ce que fut l'un de mes premiers achats black metalliques : un joyau de Nehemah. Un excellent hommage à la scène scandinave du début des années 90.
Inutile de présenter Nehemah, rentrons dans le vif du sujet ; comme toujours, un album de nehemah commence par une intro sombre, oppressante, puis débute une faible saturation de guitare, et vient finalement une batterie furieuse et la voix malsaine de Corven, officiant également à la basse. Comme première constatation, Nehemah bénéficie d'une production plus que correcte, lui permettant de produire une ambiance destructrice et une atmosphère sombre et glauque au possible.
Les titres sont tous excellents, s'enchaînant parfaitement, et sont hétérogènes, signifiant que Nehemah est le contraire d'ennui.
A écouter absolument, "Suiguilum Sanctum Lycanthropia" avec sa guitare sèche enivrante et surtout "Shadows From The Past" un long solo de guitare saturée avec en fond la voix très spéciale de Corven... un délice.
A découvrir sans tarder.