Vinterriket - Und Die Nacht Kam Schweren Schrittes
Chronique par La Bête du Blizzard - Publiée le 22/10/2006
Note : 4.5/6
Tracklist :
1. Boten der Rückkehr
2. Visionen nächtlicher Fluten
3. Im Sog der Feuer des Schicksals
4. Kosmische Schattenspiele
5. Raben über dem Grab der Vollendung
6. Die Ruinen des Jenseits
7. ...zurück blieb nur die ewige Schwärze
1. Boten der Rückkehr
2. Visionen nächtlicher Fluten
3. Im Sog der Feuer des Schicksals
4. Kosmische Schattenspiele
5. Raben über dem Grab der Vollendung
6. Die Ruinen des Jenseits
7. ...zurück blieb nur die ewige Schwärze
Avertissement :
Vous lisez une chronique archive (susceptible d’être réécrite). Jacques Chirac était certainement encore président et nous des jouvenceaux avec autant de poils aux couilles que dans les oreilles. Nous vous demandons une certaine indulgence si vous trouvez cette rédaction abracadabrantesque.
Vous lisez une chronique archive (susceptible d’être réécrite). Jacques Chirac était certainement encore président et nous des jouvenceaux avec autant de poils aux couilles que dans les oreilles. Nous vous demandons une certaine indulgence si vous trouvez cette rédaction abracadabrantesque.
Vinterriket (en norvégien "royaume d'hiver") est un projet allemand qui date de 1996. La première démo date de 2000... depuis lors Vinterriket a sorti plus d'une trentaine de produits (demo-tapes, cd's, Lp, Ep....) et nous propose un mélange de Black Atmosphérique et de Dark Ambient dans la pure veine des deux derniers albums de Burzum...
Cet album-là est constitué de pistes exclusivement au synthétiseurs ; Dès le début, on peut noter que le son n'est pas repoussant, correct peut-on dire. Les atmosphères sont très reposantes quoiqu'assez sombres. Par contre on peut également penser que la composition et la structure ne sont pas la première qualité du projet. Également, constituant un lien entre Vinterriket et Burzum, c'est le fameux clavier "playskool", le son parait par moment assez "kitch" pourrait-on dire mais les ambiances prennent une fois de plus le dessus...
Sympathique, reposant, à écouter avant de dormir...
Cet album-là est constitué de pistes exclusivement au synthétiseurs ; Dès le début, on peut noter que le son n'est pas repoussant, correct peut-on dire. Les atmosphères sont très reposantes quoiqu'assez sombres. Par contre on peut également penser que la composition et la structure ne sont pas la première qualité du projet. Également, constituant un lien entre Vinterriket et Burzum, c'est le fameux clavier "playskool", le son parait par moment assez "kitch" pourrait-on dire mais les ambiances prennent une fois de plus le dessus...
Sympathique, reposant, à écouter avant de dormir...